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[[Z:Correspondance 1899 XII|<span style="font-family:courier;font-size:120%;">[s]</span>]] Correspondance Mercoeur 1899, t. XII, p. 26, note 1<br />
 
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« Les trois strophes que nous venons de citer ont trait à René du Dresnay, sr. de Kercourtois, chef des ligueurs de la Haute-Cornouaille, et l'un des plus beaux caractères du XVIème siècle. A l'époque du siège de Craon, il n'avait que 22 ans ; en 1594 il commandait une compagnie de gens d'armes de 150 salades, qui lui avait été donnée de préférence à plusieurs gentilshommes et vieux soldats, lesquels, néanmoins, n'en furent pas jaloux, dit un contemporain, la voyant bailler à celui qui la méritait si bien. Car c'était un gentilhomme rempli de belles qualités entre la noblesse et plus parmi les gens de guerre : vaillant de sa personne autant qu'on pouvait l'être, discret, parlant peu, mais bien à propos, ne jurant jamais, ne s'adonnant pas aux femmes, comme la plupart des autres recherchent si curieusement, ne manquant pas de remplir son devoir de bon chrestien, jeûnant le caresme, mesme à la compaigne, ce qu'il faisait quand il fut tué, qui fut le jeudi absolu (Jeudi-Saint) ou le jour de devant (6 ou 7 avril 1594) ; mais il semble que Dieu le voulait à lui, le trouvant disposé de jouir de la gloire éternelle. Kercourtois eut une de ces morts glorieuses, si communes dans les temps modernes ; il périt en gardant le pont de la Houssais, près Pontivy, qu'il défendit seul, pendant près d'une heure, contre six ou sept cents arquebusiers ennemis, jusqu'à ce que, tentant un dernier effort pour les chasser au delà, et s'estant avancé avec force, dit l'historien déjà cité, son cheval eut un de ses pieds de derrière pris entre deux planches du pont et tomba sur lui. Dans ce moment accourut un soldat, qui lui donna, au défaut de la cuirasse, de son épée au travers du corps... Et il trépassa à cheval sur celui même qui avait combattu. Son corps fut rendu à Kemper et enterré aux Cordeliers avec une grande magnificence et beaucoup de pleurs de toutes sortes de gens, car il estoit fort aimé » (Barzaz-Breiz, p. 283 et suivantes).
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Lundi 11 avril 1594 E:15940411


Mercoeur est à Vannes pour la tenue des États.
Ils avaient été convoqués à Dinan le 4 avril ?
Et non à Lamballe comme disait le Chanoine Moreau (p. 134, épisode sieur de Kercourtois)

De Vannes, il écrit à Don Juan del Aguila qui se trouve déjà au Fort de Crozon (encore en chantier !)
[s] Correspondance Mercoeur 1899, t. XII, p. 26, note 1